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 + DOLORES RAZOWSKI

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pigfart is real
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pigfart is real


Messages : 66
Date d'inscription : 22/09/2012

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MessageSujet: + DOLORES RAZOWSKI   + DOLORES RAZOWSKI Icon_minitimeLun 23 Fév - 21:45

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- dolores "dolly" razowski -
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all the lonely people,where do they all come from?
beatles, eleanor rigby ~ tumblr

NOM, PRÉNOMS: Razowski, son nom pue la vieille pologne où sa vie s'écoulait sur des notes d'alcool. Elle porte un prénom vieux et rare, mais elle en préfère les surnoms : Dolly, Lo, parfois même Lolita dans les bouches comblées. ÂGE, DATE DE NAISS.: Elle a 24 ans depuis le onze décembre NATIONALITÉ ET ORIGINES: Elle est née dans la vieille pologne, elle ne porte aujourd'hui que le nom poussiéreux d'une vie refoulée à l'excès. Polonaise, elle aspire à la nationalité anglaise, elle compte épouser un pauvre idiot, changer de nom, vivre de son argent. MÉTIER OU ÉTUDES: Elle fut autrefois une jeune gymnaste prometteuse, mais le destin fatidique, cette idiotie qui vous ronge les os, a détruit toutes chances de continuer sur cette voie. Doucement, devenant fille de rien, elle a apaisé ses pensées dans la poudre blanche, oubliant un passé aujourd'hui révolu. Idiote pailletée, elle se déhanche, se contorsionne tous les soirs, sous les mains grasses et lourdes d'hommes décadents. ÉTAT CIVIL: Elle est amoureuse de la simple idée d'aimer, elle étire ses pensées cosmiques vers des hommes assoiffés. Elle est le bref amour des seuls et des idiotsSTATUT MONÉTAIRE: Elle appartient à la classe moyenne qui tire vers la pauvreté, elle soutient sa vie par les livres qu'elle dévore, tout son argent sert à alimenter son cerveau, princesse de guenilles, reine d'esprit.CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES: Dolores a sa colone vertébrale tatouée dans le dos, les dents légèrement jaunies par le café et la marlboro, malgré une excellente hygiène dentaire. Autrefois brune, elle s'est teint les cheveux car les hommes préfèrent les blondes. Elle a les yeux verts, mais personne ne le sait, demandez à ses proches, ils seront incapables de vous le révélez : car ce n'est pas un vert proclamé il se cache entre le bleu et le jaune. Elle a la peau blance, un physique de poupée contorsionniste, elle mange trop peu. TRAITS DE CARACTÈRE: Dolores est un personnage cynique, indifférent à la douleur et à la pitié. Elle est trop intelligente pour son propre bien et est si exigente avec elle-même, qu'elle en attend de même des autres. Elle se lasse ainsi rapidement des gens, ne les aime et ne les supporte qu'à très court terme. Perfectionniste, elle recommencera tout inlassablement, jusqu'à arriver à son idéal. Elle est aussi maniaque, obsessionnelle et soignée, donc des plus insuportables avec ses colocataires. Elle supporte rarement le bruit, ne vit que pour la musique classique. Elle fait parti de ces pauvres raffinés, elle ne vit que pour le Beau, le Grandiose. Elle est une rêveuse, décuplée d'une menteuse, elle s'invente une vie, change d'identité : Charlie, Eleanor, Kathryn, sa vie se décompose et se compose au fil des saisons. Elle est des plus habiles à se transformer, caméléon glorifié d'une vieille époque, elle change ses mimiques, adopte les TOC d'autres individus. Personne ne la connait, elle se protège en évoluant ainsi, poupée inerte inventée par des infamies. Car elle est faite de feu et de sang, elle dispose de trop d'amour, chaque jour elle risque d'exploser. Il lui arrive de pleurer sans savoir pourquoi, dû sans doute au mal-être d'exister. Elle ne cherche jamais le conflit, mais le provoque toujours, sans le désirer. dolly est brut de décoffrage, elle est persuadée que tout le monde peut tout supporter. Si elle ne parle pas beaucoup, elle sait crier., contre elle-même la plus part du temps. Vous connaitrez mieux Doly en l'écoutant se parler quand lui soumettant des questions. Mais quand elle aime, elle se soumet complètement et délibérement, marionette d'amours violents, elle n'a jamais su être aimée. Elle a toujours choisi ceux qui n'étaient pas bons, ceux qui l'a transformaient en déchet humain, en fille de rien. Elle est le sens du sacrifice, elle donne toujours plus qu'elle ne reçoit. FAMILLE ET STATUT: Elle a un frère Kalebavec qui elle entretient des relations houleuses, elle n'a jamais connu son père qui était un passage de la nuit, ce qui fait d'elle et Kaleb des demi-frères et soeurs. Sa mère, ancienne politique, est morte à cause de son alcoolémie. Puis il y a Vlad, son frère adoptif, pour qui elle ressent une passion déchirée. GROUPE: Glory and Gore.

♢♢ Cause you don't feel pretty you just feel used
Elle se lave les mains plus d'une quinzaine de fois par jour, il serait possible d'opérer un mourant dans son appartement aspetisé + Elle adore avoir le vertige, elle monte souvent sur le toit de son immeuble et s'y assoie des heures durant. Parfois même, elle y fait l'équilibre, et les passants appellent les pompiers, persuadés qu'elle veut mettre un terme à sa vie + Elle est hyperlaxe, une contorsionniste hors pairs + Jeune elle était la plus prometeuse des gymnastes, mais son professeur a abusé d'elle et l'a fait tomber dans la dope + Il l'a détruite, et elle se cassera le bassin au championnat, face aux barres asymétriques. + Durant plusieurs mois, elle était persuadée d'avoir perdu ses jambes. Elle peut à présent marcher, elle court parfois mais ne va jamais loin, brisée + Elle aime disséquer les âmes humaines, comprendre chaque individu + Elle n'est pas du genre bavarde, elle préfère écoute que raconter son histoire + Elle ment souvent, même toujours sur sa réelle identité + Elle a un frère aîné, qu'elle ne voit pas souvent qui " a réussi" ils entreteignent une relation conflictuelle + Elle ne suporte pas les gens âgés, adore les enfants. + elle est épileptique depuis l'adolescence, le grand Mal est apparu après l'effort et la drogue dont elle ne peut aujourd'hui se passer. + Elle adore les livres, se sont ses seuls trésors, elle connait la poésie sur le bout de la langue, Apollinaire est celui qui éveille ses journées + Elle est douée de ses mains, dessine énormément mais personne ne le sait, elle prétend toujours qu'elle est incapable de quoique ce soit. + Elle ne boit que du vin, et très peu, elle n'aime pas l'alcool fort, le seul qu'elle boit, c'est la chartreuse. + Elle déteste ses cheveux blonds, mais c'était la seule chose qu'on lui demandait pour rentrer dans la boîte + Elle excècre la littérature anglaise, ne vit que pour ma française, malgré son aversion profonde pour Hugo et Zola + Elle est francophile de manière générale, le cinéma et la musique sont des arts qui la touchent éxagérement. + Ses goûts sont très classiques, elle n'aime pas l'extravagance qu'elle voit comme l'élégance du pauvre. + fascinée par le cinéma muet, ses expressions faciales sont toujours exacerbées, et son regard sourd encombre votre esprit de paroles muettes. + Elle est fascinée par le personnage de Lolita par Nabokov, et se glisse dans la peau du personnage à chaque numéro de danse. +


♢♢ Kiss and tell everything I said, stuck inside your little web
PRENOM ET PSEUDO: mouthofashes, anaïs ~ ÂGE: dix-sept ans ~ PAYS: france ~ COMMENT ES-TU ARRIVÉ ICI?: grace à florence mon saucisson d'amour ( elizabeth sur le forum) ~ SCÉNARIO: non ~ AVIS: mon tout premier city, j'avoue que j'aime beaucoup le forum qui est très beau ~ AVATAR: emma roberts.
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MessageSujet: Re: + DOLORES RAZOWSKI   + DOLORES RAZOWSKI Icon_minitimeLun 23 Fév - 21:45

MES YEUX SONT DES FLAMMES ET NON DES PIERRERIES
JETEZ, JETEZ AUX FLAMMES CETTE SORCELLERIE
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♢♢ IL SAIT DE QUOI NOUS SOMMES PETRIS, IL SE SOUVIENT QUE NOUS SOMMES POUSSIERES
Le bonheur euphorique, un félicite complet, uniforme qui vous engloutit. Il lui semblait que tout son crâne s’embrasait, tel un éclair de lucidité, alimentant l’hyperesthésie de sa sensibilité et de sa conscience. Puis les images se travestissent, s’étirent, se multiplient. Un vacarme incessant agresse l’esprit, alors qu’un silence opaque le sépare du monde. Toute communication est impossible, et elle semble basculer dans l’infini oubli des choses. Son corps n’était plus qu’une couverture qui se dissipait au rythme des soubresauts. L’épilepsie, le mal divin, la maladie sacrée secoue les membres de Dolores Il n’est qu’un phénomène, une illusion morbide, mais ces moments à eux seuls valent toute une vie. Mais l’extérieur est tout autre, la coquille s’ouvrait, gesticulait comme désarticulée. La couleur bleuâtre parcoure son visage tandis que la bave glisse aux commissures, se mélange au délire humain. Et le cri sort de chaque parcelle de ses pores, la douleur s’exhale. Elle a cette agitation qui précède l’agonie. Parfois, elle est prise d’absence, elle fixe un point, mais elle est ailleurs, complètement déconnectée de la réalité. Elle n’est plus là, elle est dans les tréfonds de ses méninges. On commence à l’appeler, mais les appels restent un écho, un doux mensonge. La vrai vie, elle passe devant les yeux de Dolores, qui s’ouvre à un nouvel univers. Elle voit des images saccadées, entend des voix tendres et chuchotantes. « Dolores ! » Elle relève les yeux vers sa mère. « Tu le fais encore » « Pardonnez moi mère ». Son cœur bat si vite, vite, elle s’en veut pour ces moments d’ellipses qui la rend aussi misérable aux yeux de sa mère. Ce sentiment turpide la gagne, et elle suffoque un peu plus après chaque crise, chaque néant. Et doucement, elle récite les saintes paroles, que sa mère a dictées : « Pater noster, qui es in caelis, sanctificetur nomen tuum. adveniat regnum tuum, fiat voluntas tua, sicut in caelo et in terra. Panem nostrum quotidianum da nobis hodie, et dimitte nobis debita nostra, sicut et nos dimittimus, debitoribus nostris ; et ne nos inducas in tentationem, sed libera nos a malo. Amen » Le Notre Père devient une douce litanie, qu’elle répète après chaque crise comme un réconfort. Elle n’est toujours pas lucide, ses yeux sont encore brouillés, et elle tente d’effacer toutes traces de faiblesses : Kaleb va bientôt revenir, et elle ne veut pas qu’il sache qu’elle s’était à nouveau éclipsée à l’intérieur. Elle regarde la figure maternelle, cherche à la transpercer, elle l’aime si fort, elle possède une admiration inconditionnelle, immuable pour cette femme de poigne, qui pourtant, se laisse aller chaque soir à la boisson.
Mais au fond, il a ce désir impénétrable, cette obsession débordante qui gagne petit à petit Dolores, elle veut connaître ce futur, ce passé tentateur. Elle veut beaucoup de chose, elle en désire encore beaucoup d'autre. Et sa tête est couronnée d'une étoile de sang, le troisième oeil trône sur sa tête.


THE HUNTED BECAME THE HUNTRESS
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♢♢ dites à la vermine que j'ai gardé la forme et l'essence divine de mes amours décomposé
Ils sont nés tous les deux dans un monde enclins à les séparer, à leur faire du mal. Dans la demeure alcoolisée, dans une pièce remplie de fureur et de bruits, Kaleb serre de ses doigts damnés le corps charnue de Dolores. Il frôle lentement sa tête de poupées de cire, il la tient tant bien que mal dans ses bras décharnés. Il s’est entrainé avec des bouts de chiffon à tenir la petite fille, leur deux corps sont enclavés, elle est à peine née qu’il ne lui laisse pas voir la lumière diaphane du satin. Leur oncle allume sa cigarette au feu du jour, fait étinceler cette journée suffocante. Leur mère est dans la pièce d’à côté, elle se repose depuis deux jours, on ne l’entend pas murmurer, pourtant elle parle en continue, comme un vieux conte ressassé. Dolores ne pleure plus, le doigt de son frère l’amuse beaucoup plus. Elle est si fragile, Kaleb tend sa paume, et l’ombre couvre le visage de sa sœur. Il est tenté d’imprimer ses sains gigantesques sur la tête trouée de deux gros yeux provocateurs de Dolores . Mais l’enfant a faim, et la mère ne sait plus que s’écouter, elle se met alors à chercher la tétine d’un air agacé. Dans la ville qui voit des corps morts danser, le cri de Dolores pénètre les voutes « Donne lui à manger » Et Kaleb s’exécute, lui donne la becquée, parce que leur père ne veut pas s’occuper d’une enfant de trois ans, et que sa mère préfère s’écouter. Il est calme, placide, presque chevaleresque avec sa sœur. Son naturel turbulent est canalisé en un seul but : faire plaisir à l’enfant. Que reste-t-il de l’infatué ? Si ce n’est qu’un tas de cendre, que sa sœur a doucement piétiné. La cendre noire recouvrait la plante dodue des pieds, mais elle était froide, Kaleb s’était inquiété pour rien, à nouveau. « C’est pour moi ? » Dolores souffle, elle est heureuse. Kaleb a cette étrange habilité à trouver ce qui plairait à sa sœur. Il manifeste une certaine dextérité qui lui vaut un sourire gêné, imperceptible, qui lui fend le cœur en deux. Il précède celui qui serait forcé, mais étincelant, il ne comprend jamais les sourires de Dolores, il aimerait pénétrer son cerveau, s’enfoncer dans le sombre caveau. Dolores, entend tous les tourments de son frère mais ne sait lui répondre. Ils désiraient chacun le don de l’autre, ils voulaient déceler ce que l’autre décelait, ils voulaient comprendre. Dolores se sent toujours à côté, ne sait jamais que faire, les suppliques sourdes de Kaleb restent sans réponse. « Merci » Quelle ingrate ! Elle n’ose faire plus, il est si muet qu’elle s’enfouit un plus dans son insensibilité chronique. Alors, doucement, elle l’enserre de ses doigts chauds, des bras tendres. Il l’accueille avec plaisir, embrasse sa tempe d’un geste protecteur, possessif.

THE LONELY PEOPLE, WHERE DO THEY BELONG ?
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♢♢ She was Dolly at school. She was Dolores on the dotted line. But in my arms she was always Lolita.
Et Vladimir se mis à penser. Dolly, sa douce et arrogante Dolly. Malgré leur relation houleuse, des plus changeante, elle c’est accroché à sa vie comme si elle était sienne, elle a sauvé un être qui ne méritait que de tomber. Et pourquoi ? Parce que son cœur est déchaîné par une lubie des plus abstruse, anticonstitutionnelle, régissant chaque mouvement, chaque pensée, chaque pas qu’il souhaiterait faire. Sa douce Dolly, ils étaient les enfants séparés, ceux qui préféraient s'arracher les cheveux au lieu de partager le plus simple des jouets. Terribles ? Surement, mais à présent, toute querelle passée est oubliée, ils ne ressassent pas ces cauchemars, n’appartiennent-ils pas à un autre monde ? Ils n'ont jamais eu le luxe de se morfondre dans des rêves les plus roses, ils ne se perdront pas dans ces simulacres d'horreur. L'enfant lui révèle petit à petit son visage, il croit malheureusement qu'elle est des plus gâtées, plus pourrie que lui. Elle s'efforce à se noyer dans son propre malheur, parfois il aimerait appuyer un peu sur sa tête, l'aider dans son acte laid. Il ne peut se résoudre à la transformer, à la modeler à son visage. Il l’a connait si bien à présent. Petite Lo échevelée, son écriture est toujours aussi désordonnée, brusque qu'autrefois, et elle est un malheur à regarder. Mais il ne veut plus la voir, il cessera de la tourmenter, elle, sa Lo, sa Dolly. Elle reste l'enfant brune et rose, brûlante et souillée, celle qui minaude en dévoilant ses épaules lorsque il arrive. Petite soeur, elle était un monstre de domination, elle a manipulé sa vie de ses yeux grimaçants. Mais tous cela dois s'arrêter dès à présent, leurs jeux vicieux prennent fins dès maintenant. Il y met un terme, car sa Lola s’est perdue et il ne fait que lui montrer la mauvaise voie. Dans ses chaussettes informes, elle erre sans âme, sans chagrin, elle n’a rien pour pleurer, pas même les vestiges d'une ancienne estime de soi. Il l’a détruite dès son plus jeune âge, elle lui a interdit d'aimer depuis toujours. Ils s’entre-déchirent, ils se haïssent, oui ils se détestent. Elle danse sur les mots qu’ils avaient tissés, tard le soir quand elle paressait sous sa couette, prétextant la peur de l'orage. Il savait bien qu’elle n'avait peur de rien, si se n'est d'être imparfaite, banale. Oh ! Il l’a voit bien, en bouderies bleues, vêtue de son hilarité rose, parcourir ces mos de ses yeux d'abadir, oui ses pierreries trompeuses qu’elle chérit tant. Non, il lui demande pardon pour tout le mal que qu’il lui a fait, pour toute la médiocrité de son être faible. Le baiser qu’il lui a donné sous la fureur, il le reprend, il ne lui appartient plus. Plus exactement, il lui rend ce moment volé, quand il a souillé ses lèvres des siennes, gangrenées.




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